Retrouver un résistant FFI, FTP, médaillé, fusillé ou déporté

Vous cherchez la liste de tous les résistants de la Seconde Guerre mondiale, ou vous souhaitez en savoir plus sur les résistants FFI et FTP ?

Grâce aux dossiers d’homologation des résistants et des réseaux, il est aujourd’hui possible d’identifier des résistants, de découvrir leurs actions et leur réseau (Combat, Libération-Sud, Franc-Tireur, …).

De plus, certaines archives permettent de retrouver les résistants fusillés, déportés ou disparus, ainsi que ceux qui ont reçu la Médaille de la Résistance.

C’est ce que nous allons voir dans ce guide.

Les dossiers d’homologation des résistants

Que sont les dossiers d’homologation des résistants ?

Les dossiers d’homologation des résistants sont des dossiers individuels qui ont été établis, après la guerre, afin de reconnaître les services de tous ceux qui s’étaient engagés dans la Résistance.

Ces dossiers sont issus des commissions du « Bureau Résistance », qui était à l’origine une direction des Forces françaises de l’intérieur chargée d’homologuer les services rendus par les résistants.

En tout, les commissions ont traité 610 000 dossiers de demande d’un titre de résistant, et 443 000 d’entre eux ont abouti à une homologation.

Ces dossiers permettent donc de retrouver la liste de tous les résistants dont les services ont été homologués, ainsi que tous ceux dont la demande n’a pas abouti.

Retrouver un dossier d’homologation de résistant

Pour retrouver le dossier d’un résistant, il faut tout d’abord retrouver la cote de son dossier.

Pour cela, il faut se rendre sur la base des titres, homologations et services pour faits de résistance du site Mémoire des hommes, et rechercher sa fiche.

Par exemple, voici la fiche de résistant de Jean Moulin :

Fiche de résistant de Jean Moulin sur Mémoire des hommes

Fiche de résistant de Jean Moulin sur Mémoire des hommes

La fiche d’un résistant permet de retrouver les informations suivantes :

  • le pseudonyme qu’il utilisait dans la Résistance,
  • sa famille de résistance : Forces françaises combattantes (FFC), Forces françaises de l’intérieur (FFI), Déportés et internés résistants (DIR), Résistance intérieure française (RIF), Forces françaises libres (FFL),
  • le nom de son réseau : Combat, Libération-Sud, Franc-Tireur, Ceux de la Libération, Organisation civile et militaire, Ceux de la Résistance, etc.
  • la cote de son dossier d’homologation, qui commence par GR 16 P.

Une fois la cote retrouvée, on peut consulter le dossier au Service historique de la Défense à Vincennes.

Si l’on ne peut pas se rendre sur place, il est également possible de demander une reproduction, par voie postale, à cette adresse : Service historique de la Défense – Centre historique des archives – Avenue de Paris – 94300 Vincennes.

Important : comme dans le cas de Jean Moulin, il se peut qu’un résistant ait plusieurs dossiers à son nom.

En effet, en plus des dossiers d’homologation, la base des titres et homologations pour faits de résistance de Mémoire des hommes contient également :

  • des dossiers établis, durant la guerre, par le Bureau Central de Renseignement et d’Action (BCRA), qui était un service de renseignement de la France libre. Ces dossiers, dont la cote commence par GR 28 P, sont également consultables au Service historique de la Défense, à Vincennes.
  • des dossiers de demande d’attribution du titre de déporté ou d’interné résistant, dont la cote commence par AC 21 P. Pour savoir comment les retrouver, consulter la partie 3 de cet article depuis le sommaire.

Remarque : la recherche avancée de la base des titres et homologations de Mémoire des hommes permet également de rechercher les résistants par type d’engagement (FFI, FFC, FFL, etc.) et par réseau de résistance.

Ainsi, on peut retrouver la liste des résistants FFI en cochant la case « Forces françaises de l’intérieur (FFI) », comme sur l’image ci-dessous :

Rechercher la liste des résistants FFI

Rechercher la liste des résistants FFI

Les dossiers d’homologation des réseaux

Que sont les dossiers d’homologation des réseaux ?

Les dossiers d’homologation des réseaux de la Résistance ont été établis, après la Libération, par les chefs de réseaux, afin de faire reconnaître les faits de résistance de leur groupement durant la Seconde Guerre mondiale.

Ces dossiers d’homologation contiennent :

  • l’historique de la formation du réseau,
  • la liste nominative des membres du réseau,
  • l’état nominatif des cadres,
  • l’état des morts, des disparus et des déportés,
  • la liste des opérations effectuées,
  • parfois, des lettres manuscrites témoignant des activités du réseau.

Liste nominative des membres

La liste nominative des membres indique les noms et prénoms des résistants du réseau, leur date de naissance et les dates de leurs services homologués.

Liste nominative des membres d’un réseau de résistants

Liste nominative des membres d’un réseau de résistants

Etat nominatif des cadres

L’état nominatif des cadres permet de connaître les résistants qui avaient un grade, leur « nom de guerre » et les fonctions qu’ils exerçaient au sein du réseau :

Etat nominatif des cadres d’un réseau de résistants

Etat nominatif des cadres d’un réseau de résistants

Remarque : certains résistants peuvent figurer sur l’état nominatif des cadres, mais pas sur la liste nominative des membres. C’est d’ailleurs le cas du cousin de l’arrière-grand-père de mes enfants, qui était chef adjoint de secteur FFI.

Etat nominatif des morts, des disparus et des déportés

L’état nominatif des morts, des disparus ou des déportés permet de connaître la date, le lieu et les circonstances du décès des résistants : fusillé, tué au combat, tué par un éclat d’obus, tué par la police allemande, prisonnier puis déporté, etc.

Etat nominatif des résistants morts et disparus d'un réseau

Etat nominatif des résistants morts et disparus d’un réseau

Parfois, certains résistants, qui figurent dans l’état des morts et disparus, ne sont pas mentionnés dans la liste nominative des membres.

Par exemple, c’est le cas pour 7 résistants listés sur l’état nominatif ci-dessus.

De plus, un d’entre eux n’apparait pas dans la liste des résistants de la base des titres et homologations.

Liste des opérations du réseau

Enfin, les dossiers d’homologation contiennent la chronologie et la description des opérations effectuées par le réseau de résistants :

Liste des opérations effectuées par un réseau de résistants

Liste des opérations effectuées par un réseau de résistants

Les dossiers d’homologation permettent donc non seulement de retrouver un résistant, mais aussi de connaître les opérations contre l’ennemi auxquelles il a pu participer.

Comment retrouver le dossier d’un réseau de résistant ?

Les dossiers d’homologation des réseaux sont consultables sur le site Mémoire des hommes à cette adresse : Dossiers d’homologation des réseaux de Résistance

Pour les consulter, il faut sélectionner un département dans la colonne à gauche, puis sélectionner le réseau dont on veut consulter le dossier.

Il est à noter que ces dossiers ne sont pas encore indexés. Si vous ne savez pas précisément à quel réseau un résistant appartenait, il faudra donc parcourir chaque dossier d’un département pour le retrouver.

Néanmoins, Geneanet a récemment lancé un projet d’indexation de ces dossiers d’homologation. Il sera donc bientôt possible de rechercher le dossier d’un réseau de résistance à partir du nom d’un de ses membres.

Les dossiers des déportés résistants et des internés résistants

Qu’est-ce qu’un déporté résistant ou un interné résistant ?

Les titres de déporté résistant et d’interné résistant ont été créés par la loi du 6 août 1948 pour honorer « la mémoire des martyrs de la barbarie nazie et fasciste qui ont contribué à sauver la patrie, saluer leurs familles et rendre hommage aux rescapés de la Résistance ».

Un déporté résistant est une personne qui a été internée dans un camp ou une prison hors du territoire national, ou en Alsace-Moselle, en raison d’actes de résistance à l’ennemi.

Un interné résistant est une personne qui a été détenue pendant plus de 3 mois pour un acte de résistance à l’ennemi. Ceux qui se sont évadés, qui ont été torturés ou exécutés, obtiennent également ce statut.

Les déportés résistants et les internés résistants recevaient la Médaille de la déportation et de l’internement pour faits de résistance :

Médailles de la déportation et de l’internement pour faits de résistance

De plus, la Légion d’honneur, la Médaille militaire, la Croix de guerre ou la Médaille de la Résistance étaient attribuées d’office aux disparus, aux fusillés et à tous ceux morts durant leur détention.

Point important : les actes de résistance devaient être la cause directe de la déportation ou de l’internement.

Pour cette raison, ces deux statuts ont souvent été refusés aux résistants communistes, au motif que leurs actions ne relevaient pas de la résistance, mais de l’action syndicale. Ils recevaient donc les titres de déporté politique ou d’interné politique.

Comment retrouver un dossier de résistant déporté ou interné ?

Pour retrouver le dossier d’un résistant déporté ou interné, il faut tout d’abord retrouver la cote de son dossier. Pour cela, on peut se rendre sur la base des déportés résistants mise en ligne par le site Mémoire des hommes, et rechercher sa fiche :

Fiche d’un déporté résistant sur Mémoire des hommes

Fiche d’un déporté résistant sur Mémoire des hommes

Ensuite, une fois qu’on a retrouvé la cote, les dossiers peuvent être consultés au Service historique de la Défense, à Caen, en salle de lecture.

Si l’on ne peut pas se rendre sur place, il est également possible d’adresser une demande de reproduction, par voie postale, à cette adresse : Service historique de la Défense – Division des archives et victimes des conflits contemporains – Rue Neuve du Bourg l’Abbé – 14037 Caen.

Remarque importante : cette base ne concerne que les déportés résistants. Les internés n’y figurent pas, mais ils apparaissent dans la base des titres et homologations pour faits de résistance (voir partie 1 de cet article).

C’est d’ailleurs le cas pour le cousin de l’arrière-grand-père de mes enfants, qui a reçu le titre d’interné résistant. En effet, il a été arrêté et torturé par la Gestapo à deux reprises et il s’est échappé en sautant du train en marche qui l’emmenait au camp de Dachau :

Arrestation et déportation du cousin de l’arrière-grand-père de mes enfantsIl ne figure pas dans la base des résistants déportés, mais son dossier est indiqué lorsqu’on le recherche dans la base des titres et homologations pour faits de résistance.

Inversement, certains résistants, qui figurent dans la base des déportés résistants, n’apparaissent pas dans la base des titres et homologations. Il est donc recommandé de consulter systématiquement ces deux bases.

Par ailleurs, on peut également rechercher un résistant dans l’inventaire complet des dossiers de demande d’attribution du titre de déporté ou interné résistant sur le site du Service historique de la Défense.

Cet inventaire nominatif de 1930 pages liste les cotes des 55 788 dossiers de demande, y compris celles qui n’ont pas abouti.

Les dossiers des combattants volontaires de la Résistance

Qu’est-ce qu’un combattant volontaire de la Résistance ?

La qualité de combattant volontaire de la Résistance (CVR) est reconnue à toute personne qui a appartenu pendant au moins 3 mois, avant le 6 juin 1944, en zone occupée par l’ennemi :

  • aux Forces françaises de l’intérieur (FFI),
  • aux Forces françaises combattantes (FFC),
  • à un réseau homologué de la Résistance.

Cependant, la durée minimale de 3 mois n’est pas exigée dans les cas suivants :

  • les résistants exécutés, tués ou blessés,
  • les déportés résistants et les internés résistants,
  • les résistants qui ont rejoint une unité combattante homologuée avant le 6 juin 1944 et qui ont combattu durant 3 mois (par exemple, du 1er juin au 1er septembre 1944).

Les combattants volontaires de la Résistance avaient le droit, même à titre posthume, à la délivrance de la carte du combattant volontaire de la Résistance :

Carte de combattant volontaire de la Résistance

Carte de combattant volontaire de la Résistance

De plus, ils avaient également le droit de porter la Croix du combattant volontaire de la Résistance, qui a été créée le 15 avril 1954 :

Croix du combattant volontaire de la Résistance

Croix du combattant volontaire de la Résistance

Pour obtenir le titre de CVR, les intéressés devaient en faire la demande auprès de l’Office national des anciens combattants et des victimes de guerre (ONAC).

En cas de décès, la demande pouvait également être présentée par les ayants cause.

Au total, environ 485 000 demandes ont été déposées, et 263 000 d’entre elles ont abouti à une attribution du titre de CVR.

Que contient le dossier d’un combattant volontaire de la Résistance ?

Un dossier de demande de carte du combattant volontaire de la Résistance contient :

  • le formulaire complété de la demande,
  • des témoignages manuscrits de compagnons de la Résistance,
  • des certificats et des attestations d’appartenance aux FFC, aux FFI ou à un réseau,
  • des courriers échangés entre les différentes administrations,
  • des pièces administratives diverses : bulletin de naissance, bulletin de casier judiciaire, etc.
  • éventuellement, des attestations de déportation ou d’internement,
  • éventuellement, des mentions de décorations ou de citations militaires,
  • la fiche d’examen de la demande par la commission, et la décision d’attribution ou de refus du titre de CVR.

Le formulaire de demande de la carte de CVR

Le formulaire de demande de la carte de CVR récapitule l’ensemble des informations sur le résistant :

  • l’état civil et la situation militaire,
  • les promotions obtenues depuis la libération,
  • la situation civile sous l’occupation,
  • les éventuelles blessures et les éventuelles décorations,
  • les activités exercées dans la Résistance : formations et réseaux, actions contre l’ennemi, responsabilités assurées, pseudonyme utilisé, etc.

Formulaire de demande de la carte de CVR

Formulaire de demande de la carte de CVR – Activités exercées dans la Résistance

Témoignages et certificats d’appartenance à la Résistance

Les certificats d’appartenance reprennent généralement les informations présentes dans les dossiers d’homologation des résistants ou des réseaux :

Certificat d’appartenance aux Forces françaises de l’intérieur

Certificat d’appartenance aux Forces françaises de l’intérieur

Les témoignages permettent souvent de retrouver des détails sur les actions ou les responsabilités au sein du réseau ou du groupement :

Témoignage d’appartenance à un réseau de renseignement

Témoignage d’appartenance à un réseau de renseignement

La décision d’attribution du titre de CVR

Un dossier de demande de carte de CVR contient enfin la décision d’attribution (ou de refus) du titre de combattant volontaire de la Résistance :

Décision d’attribution du titre de CVR

Décision d’attribution du titre de CVR

Lorsque la demande de carte de CVR a été rejetée, le motif du rejet est indiqué, comme dans la décision ci-dessous :

Refus de la demande d’attribution du titre de CVR

Refus de la demande d’attribution du titre de CVR

Généralement, les demandes sont rejetées car le résistant s’est engagé trop tardivement dans la Résistance : il n’a pas 3 mois de services homologués avant le 6 juin 1944.

Comment retrouver le dossier d’un combattant volontaire de la Résistance ?

Les dossiers des combattants volontaires de la Résistance sont conservés aux archives départementales, dans la série W des archives contemporaines.

Pour les retrouver, il faut donc savoir où la demande de la carte de CVR a été déposée, sachant qu’elle a pu être faite bien après la guerre, y compris dans les années 1990.

Dans ces archives, on pourra également retrouver les demandes de carte de CVR qui ont été rejetées.

Si une personne de votre famille n’a pas obtenu le titre de CVR, il est peut-être quand même possible de retrouver des informations à son sujet.

Comme ces dossiers sont encore peu numérisés, il faut généralement se rendre sur place, aux archives départementales, pour les consulter.

Néanmoins, certains services d’archives commencent à les numériser. C’est notamment le cas des archives du Finistère, qui ont mis en ligne des dossiers et des cartes de CVR sur leur site.

Au cours des années à venir, l’accès à ces demandes devrait donc se faciliter.

La médaille de la Résistance française

Qu’est-ce que la médaille de la Résistance française ?

La médaille de la Résistance française est une décoration créée le 9 février 1943 par le général de Gaulle pour « reconnaître les actes remarquables de foi et de courage qui auront contribué à la résistance du peuple français contre l’ennemi et ses complices depuis le 18 juin 1940 ».

La médaille de la Résistance française : sans rosette et avec rosette

La médaille de la Résistance française : sans rosette et avec rosette

En tout, cette médaille a été attribuée à 65 295 personnes, dont plus du tiers à titre posthume.

De plus, cette décoration dispose d’un grade supérieur : la médaille de la Résistance avec rosette, qui a été reçue par 4 586 personnes.

Comment retrouver un médaillé de la Résistance française ?

Pour retrouver un médaillé de la Résistance française, il faut se rendre sur la base des médaillés de la Résistance française sur Mémoire des Hommes, puis rechercher son nom pour accéder à sa fiche :

Fiche d’un médaillé de la Résistance française sur Mémoire des Hommes

Fiche d’un médaillé de la Résistance française sur Mémoire des Hommes

La fiche d’un médaillé de la Résistance nous indique :

  • la date du décret d’attribution de la médaille,
  • la date de publication du décret au Journal officiel,
  • le grade de la médaille : « Médaille » pour la médaille simple, et « Rosette » pour la médaille avec rosette.

L’ordre de la Libération

Qu’est-ce que l’ordre de la Libération ?

L’ordre de la Libération est une décoration créée en 1940 par le général de Gaulle pour « récompenser les personnes et les collectivités qui se seront signalées d’une manière exceptionnelle dans l’œuvre de la libération de la France et de son empire ».

En tout, l’ordre de la Libération n’a été décerné qu’à 1038 personnes appelées les compagnons de la Libération, ainsi qu’à 5 communes et 18 unités militaires.

Les compagnons de la Libération avaient le droit de porter l’insigne de l’ordre, appelé Croix de la Libération :

Croix de la Libération (insigne de l’ordre de la Libération)

Croix de la Libération (insigne de l’ordre de la Libération)

Le dernier compagnon de la Libération est décédé en octobre 2021.

Comment retrouver un compagnon de la Libération ?

Pour retrouver un compagnon de la Libération, il faut se rendre sur la base de l’ordre de la Libération, puis rechercher son nom afin d’accéder à sa fiche individuelle :

Fiche d’un compagnon de la Libération sur le site de l’ordre de la Libération

Fiche d’un compagnon de la Libération sur le site de l’ordre de la Libération

Chaque fiche est accompagnée d’une notice biographique présentant le parcours du compagnon pendant la Seconde Guerre mondiale.

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Nous venons de voir trois nouvelles archives pour retrouver un résistant :

  • les dossiers combattants volontaires de la Résistance,
  • la base des médaillés de la Résistance française,
  • la base des compagnons de la Libération.

Cependant, il existe encore de nombreuses bases de données dans lesquelles on peut retrouver des informations sur un résistant.

De plus, il nous reste à parler de tous ceux qui ont résisté, en risquant leur vie, et qui n’ont pourtant pas été reconnus comme résistants après la Libération.

C’est ce que nous verrons dans la troisième partie de cet article, qui sera publiée dans les mois qui viennent.

En attendant, pour compléter vos recherches, vous pouvez vous aider du guide « 20 bases de données pour retrouver votre famille durant la Seconde Guerre mondiale ».

Si vous êtes abonné(e) à la newsletter de ce site, vous l’avez déjà reçu dans votre boîte mail il y a quelques semaines (le 16 mars). Sinon, vous pouvez le télécharger depuis cette page.

Bonnes recherches et à très bientôt,

Elise

Et vous, avez-vous eu des résistants dans votre famille ? Avez-vous déjà mené des recherches pour retracer leur parcours ?



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