Comment retrouver la tombe d’un ancêtre
Dans ce dossier sur comment savoir où est enterré un ancêtre, nous allons voir 4 méthodes pour retrouver une tombe :
- les registres d’inhumation
- les registres des convois funéraires
- les relevés de tombes en ligne
- les sites internets des cimetières
Table des matières
Retrouver une tombe dans les registres d’inhumation
Les registres d’inhumation
Un registre d’inhumation est un registre utilisé par les communes pour enregistrer les détails d’une inhumation, afin de savoir où et quand un défunt a été enterré.
Par abus de langage, on dit parfois qu’un registre d’inhumation est un registre de cimetière.
Par exemple, voici un registre d’inhumation de la ville de Pantin, en 1931, dans lequel figure la sœur de mon arrière-grand-père, Marie-Adèle Lenoble.
Un registre d’inhumations contient toujours 5 informations :
- la date de l’inhumation : ici, la page du registre concerne les inhumations du 1er avril 1931.
- les nom et prénoms du défunt.
- l’âge du défunt, qui permet de départager les homonymes.
- le lieu du décès : en général, seule la commune (ou l’arrondissement) est indiquée. Parfois, on retrouve des adresses précises.
- l’emplacement de la tombe : ici, on apprend que la tombe de Marie Adèle Lenoble était située dans la division n°79, allée n°10, tombe n°15. (Quand un registre est commun à plusieurs cimetières, le nom du cimetière est précisé).
Parfois, on retrouve également d’autres informations dans ces registres :
- la durée de la concession, et ses éventuels renouvellements,
- le type de sépulture : dans le registre ci-dessus, les mentions « caoutchouc » et « carton » désignent la garniture utilisée dans les cercueils pour garantir leur étanchéité (soit de la toile caoutchoutée, soit du carton bitumé),
- la cause du décès (celle-ci ne figure pas dans le registre ci-dessus).
Comment utiliser les registres d’inhumation en généalogie
Pour nous, généalogistes, ces registres d’inhumation présentent 2 grands intérêts.
→ Tout d’abord, ils nous aident à retrouver l’emplacement d’une tombe :
- Quand la tombe existe encore, on sait précisément où elle est située, et ainsi, on peut la retrouver. Cela est particulièrement utile dans les grandes villes qui comptent plusieurs cimetières, tous très grands.
- Quand la tombe n’existe plus, on sait où elle était située, et donc, qu’il est inutile de la rechercher ailleurs.
- Quand le défunt ne figure pas dans les registres d’inhumation d’une commune, on sait qu’il n’a pas été enterré dans cette commune. Il faut donc rechercher ailleurs sa sépulture.
→ Les registres d’inhumation nous permettent également de faire des découvertes sur nos ancêtres.
Par exemple, je recherchais des informations sur la petite sœur de mon arrière-grand-mère, Aline Delatte, décédée à Auxerre à l’âge de 17 ans.
En effet, son acte de décès indiquait qu’elle était décédée « Avenue de Paris », mais sans donner plus de précisions. J’avais donc supposé qu’il s’agissait d’un établissement hospitalier.
Puis, grâce aux registres d’inhumation de la ville d’Auxerre, j’ai pu découvrir davantage d’informations.
En effet, le registre d’inhumation nous apprend qu’elle a été enterrée dans le cimetière Dunand, le 16 février 1920 (soit deux jours après son décès), dans le 2e carré, section R, tombe n°10.
Il nous indique également son lieu de décès. Aline Delatte est donc décédée, à l’âge de 17 ans, à l’Asile Départemental.
Comment consulter les registres d’inhumation des cimetières
Les registres d’inhumation des cimetières sont librement communicables après un délai de 50 ans. Pour les retrouver, il y a 2 possibilités.
Consulter les registres en ligne
Tout d’abord, les registres d’inhumation de certaines grandes villes ont été numérisés et sont accessibles, en ligne, sur le site de leurs archives municipales. C’est notamment le cas pour les villes de Paris, Nantes, Strasbourg, Bordeaux et Auxerre.
Remarques :
- la ville de Nantes a fait indexer ses registres d’inhumation et permet de rechercher un ancêtre inhumé à partir de son nom.
- Geneanet a commencé à indexer les registres d’inhumation de Paris, de Bordeaux et de Strasbourg. Ce n’est pas encore complet, mais vous pouvez déjà rechercher une sépulture dans les registres indexés.
Faire une demande de recherche, ou se rendre sur place
Quand les registres n’ont pas été numérisés, ils sont le plus souvent conservés en mairie.
Dans ce cas, il faut se rendre sur place, ou contacter directement la mairie pour une demande de recherches.
Les registres peuvent aussi être conservés aux archives municipales de la commune (quand il y en a), ou encore, dans un service en charge des cimetières de la commune.
Les registres d’inhumation sont donc une ressource essentielle pour savoir où est enterré un ancêtre, ainsi que pour retrouver des informations sur son décès.
Cependant, parfois, il arrive qu’on ne retrouve pas un ancêtre dans ces registres, car celui-ci n’a pas été enterré dans la commune de son décès.
Dans ce cas, il existe des archives qui permettent de retrouver dans quelle commune et dans quel cimetière se situe sa tombe : les registres des convois funéraires.
Retrouver une tombe grâce aux registres des convois funéraires
Les registres des convois funéraires
Les registres des convois funéraires sont des registres dans lesquels les communes enregistrent les transports des corps des défunts vers leur lieu de sépulture.
Ces registres sont également appelés registres des transports de corps.
On les retrouve principalement, à partir de la fin du 19ème siècle, pour les villes qui ont plusieurs cimetières.
Dans ces registres, on retrouve différentes informations :
- le nom du défunt, et éventuellement, son prénom,
- son âge ou sa date de naissance,
- le cimetière de destination, qui peut être situé dans une autre ville,
- la date du convoi funéraire.
Le format de ces registres varie beaucoup selon les communes et les époques. De ce fait, on peut retrouver parfois d’autres informations :
- le lieu de départ du convoi (en général, le domicile ou l’hôpital),
- le domicile du défunt (quand celui-ci est différent du lieu de départ),
- la paroisse du défunt, ou encore, sa religion (en particulier, quand le défunt est protestant),
- le type de cercueil : chêne, sapin, etc.
- les taxes communales dont la famille a dû s’acquitter,
- si le défunt était indigent.
Comment utiliser les registres des convois funéraires
Contrairement aux registres d’inhumation, les registres des convois funéraires n’indiquent pas l’emplacement précis de la tombe d’un ancêtre.
Cependant, ils ont un immense intérêt quand on ne sait pas dans quelle commune un ancêtre a été enterré.
Par exemple, mon arrière-grand-oncle Victor Grandsire est décédé à Paris le 23 décembre 1955.
Je l’avais recherché dans les registres d’inhumations des différents cimetières parisiens, mais je ne l’avais pas trouvé.
Puis, j’ai consulté les registres des convois funéraires de Paris, et je l’ai retrouvé à la date du 27 décembre 1955 (4 jours après son décès) :
Le registre nous apprend que son corps a été transporté du 41 rue Violet (où il résidait), jusqu’au cimetière de la commune de Vignot (qui est son village natal), dans la Meuse.
Comment consulter les registres des convois funéraires
Les registres des convois funéraires sont librement communicables après un délai de 50 ans.
Consulter les registres en ligne
Pour certaines grandes villes, comme Paris et Lyon, les registres de convois funéraires ont été numérisés et sont accessibles en ligne.
Pour Lyon :
- Les registres de convois funéraires de Lyon sont consultables en ligne de 1876 à 1973.
- A partir de l’année 1909, il existe des tables alphabétiques qui facilitent grandement les recherches.
Pour Paris :
- Les registres de convois funéraires de Paris sont appelés « registres de transports de corps » (ou « répertoires alphabétiques de transports de corps »).
- Il existe deux types de transports de corps : gratuit ou payant.
- Les registres de transports de corps payants sont numérisés de 1879 à 1920, et de 1944 à janvier 1972.
- Les registres de transports de corps gratuits sont numérisés de 1912 à 1938.
Contacter les mairies, les services d’archives, ou se rendre sur place
Dans le cas général, les registres de convois funéraires n’ont malheureusement pas été numérisés.
Il faudra donc le plus souvent contacter la mairie ou le service d’archives municipales qui les conservent.
Bien sûr, cela rend ces registres moins accessibles. Mais, il faut se rappeler que seuls ces registres permettent de retrouver la tombe d’un ancêtre quand celui-ci n’a pas été enterré dans la commune de son décès.
Les registres de convois funéraires et les registres d’inhumation sont donc très complémentaires :
- Les registres de convois funéraires nous permettent de retrouver la commune et le cimetière dans lequel un ancêtre a été enterré.
- Les registres d’inhumation nous indiquent l’emplacement précis de sa tombe dans le cimetière.
Cependant, de nos jours, il existe un autre moyen de retrouver la sépulture d’un ancêtre : les relevés de tombes collaboratifs.
Retrouver une sépulture dans les relevés de tombes
Les relevés de tombes collaboratifs
Au cours de la dernière décennie, beaucoup de projets de relevés de tombes sont apparus pour « sauvegarder » les tombes, avant que celles-ci ne disparaissent.
Concrètement, ces relevés de tombes (aussi appelés relevés de cimetières) se déroulent ainsi :
- Tout d’abord, des bénévoles se rendent dans les cimetières et prennent en photo chaque sépulture.
- Ensuite, à partir de ces photos, d’autres bénévoles retranscrivent les informations qui figurent sur les pierres tombales.
- Toutes ces informations sont alors saisies dans de grandes bases de données informatiques.
Grâce à ces bases de données, il est alors possible de savoir où est enterré un ancêtre, simplement en saisissant son nom dans un moteur de recherche.
Avantages et inconvénients des relevés de tombes
Les relevés de tombes collaboratifs ont un immense intérêt.
En effet, si un ancêtre figure dans ces relevés, on peut alors retrouver sa tombe, en saisissant juste son nom, même si on ignore dans quelle commune il a été enterré.
Cela est particulièrement utile lorsqu’un ancêtre a été inhumé dans une commune inattendue.
Cependant, les relevés de cimetières ont aussi 3 inconvénients.
- Ils ne concernent que les tombes qui existent encore aujourd’hui. Il n’est donc pas possible d’y retrouver une tombe disparue au 19ème siècle ou au 20ème siècle.
- Beaucoup de cimetières ne figurent pas encore dans ces relevés. Donc, si on n’y retrouve pas la tombe d’un ancêtre, ça ne veut pas dire que celle-ci n’existe pas.
- Les relevés de tombe se basent uniquement sur les inscriptions figurant sur les pierres tombales. Or, parfois, il manque des indications pour identifier les défunts.
A titre d’exemple : sur certains caveaux familiaux, il n’y a aucun prénom et aucune date ; seul le nom de famille est indiqué : « FAMILLE MARTIN ».
Dans ce cas, la pierre tombale ne permet pas de savoir qui est enterré dans le caveau.
D’ailleurs, il se peut que certains défunts aient porté un autre patronyme que MARTIN. Par exemple : Adeline MARTIN née DUBOIS.
Si cette pierre tombale est prise en photo lors d’un relevé de cimetières, alors le relevé ne permettra pas de savoir quels défunts y sont inhumés.
Par conséquent, si on recherche son ancêtre Fernand MARTIN, ou son ancêtre Adeline MARTIN née DUBOIS, le relevé ne nous indiquera pas qu’ils sont peut-être enterrés là.
Dans ce cas, pour identifier les défunts du caveau, il faudra consulter les registres d’inhumation du cimetière, voir partie 1 de cet article.
Les sites de relevés de tombes
Les relevés de tombes en France
En France, il y a trois principaux sites de relevés de tombes collaboratifs :
- CimGenWeb : cette base de relevés a été créée par l’association FranceGenWeb et elle recense environ 450 000 tombes.
- Sauvons nos tombes : ce projet à l’initiative de Geneanet recense aujourd’hui environ 7 millions de tombe.
- Cimetières de France : ce site permet de rechercher une sépulture parmi les relevés de plus de 1,4 million de tombes.
De ces 3 projets, le plus dynamique est actuellement celui de « Sauvons nos tombes », qui s’étoffe d’environ 1 million de relevés chaque année.
Les relevés de tombes à l’étranger
Pour retrouver une tombe à l’étranger, il existe 2 sites de relevés internationaux :
- Find a Grave, qui est proposé par l’entreprise Ancestry et qui référence 250 millions de tombes dans le monde
- BillionGraves, qui est hébergé par MyHeritage et qui comprend 43 millions de tombes
Remarque 1 : la base BillionGraves est également consultable sur le site de FamilySearch. Dans ce cas, pour y mener des recherches, il faut créer un compte (gratuit).
Remarque 2 : en théorie, ces deux sites permettent également de mener des recherches en France. Dans la pratique, ils sont peu utiles car leurs bases de données sont peu fournies sur la partie française.
Par exemple, si on recherche le nom Pierre MARTIN sur BillionGraves, on trouve en tout 29 tombes, dont 12 sont situées en France. La même recherche sur « Sauvons nos tombes » donne 1293 résultats.
Il existe également des projets de relevés de tombes propres à certains pays. Par exemple, en Allemagne, le projet Grabsteine a cartographié les tombes de 9046 cimetières.
Enfin, la base « Sauvons nos tombes » peut également être utilisé pour retrouver une tombe à l’étranger, en particulier dans certains pays proches comme : la Belgique, les Pays-Bas, le Luxembourg, l’Allemagne et l’Espagne.
Pour cela, vous pouvez consulter la liste des pays qui ont des relevés de cimetières sur « Sauvons nos tombes ».
Retrouver une sépulture sur les sites internet des cimetières
Les sites internet des cimetières
Au cours des dernières décennies, beaucoup de villes ont informatisé la gestion de leurs cimetières, à l’aide de logiciels.
Pour cela, les informations sur les tombes et les concessions funéraires ont été saisies dans des bases de données.
Ainsi, les services municipaux en charge des cimetières peuvent facilement savoir :
- qui sont les défunts enterrés dans une tombe,
- qui possède la concession funéraire,
- pour quelle durée,
- etc.
De plus, certaines villes ont décidé de publier sur internet une partie de ces informations, afin de permettre aux familles de retrouver plus facilement la sépulture d’un de leurs proches.
Ainsi ont été créés les sites internet de cimetières. (On n’utilise donc pas directement un logiciel pour trouver une tombe).
Sur ces sites, on peut rechercher où est enterré une personne en saisissant simplement son nom et son prénom.
Cependant, les informations qui figurent sur ces sites sont parfois très succinctes. En effet, dans bien des cas, on ne retrouve que :
- le nom et le prénom du défunt,
- sa date de décès,
- l’emplacement précis de sa tombe, accompagné d’un plan.
Par exemple, voici un exemple de recherche sur le site du cimetière de la commune de Villers-lès-Nancy (en Meurthe-et-Moselle) :

Recherche de tombe sur le site du cimetière de Villers-lès-Nancy
Ces sites de cimetières ne sont donc pas des registres de cimetières en ligne : en effet, ils ne donnent accès qu’à une toute petite partie des informations.
Néanmoins, de plus en plus de cimetières donnent des informations supplémentaires sur les défunts, notamment :
- la date de naissance,
- la date de l’inhumation,
- le nom de jeune fille,
- une photographie de la tombe,
- les autres défunts enterrés dans le même caveau,
- la durée de la concession (ou sa date d’expiration).
Par exemple, voici un exemple de recherche sur le site du cimetière de La Rochelle :
Comment retrouver le site internet des cimetières d’une commune
Les sites de cimetières gérés par Gescime
En France, plus de 1800 communes utilisent le logiciel de la société Gescime pour gérer leurs cimetières.
Par le biais de ce service, ces communes mettent à disposition des sites internet pour savoir où est enterré une personne dans leur(s) cimetière(s).
On peut les retrouver depuis cette page : sites internet des cimetières utilisant Gescime
Parmi ces communes, on retrouve les cimetières de nombreuses grandes villes :
- Besançon : cimetières de Besançon
- Brest : cimetières de Brest
- Clermont-Ferrand : cimetières de Clermont-Ferrand
- Créteil : cimetières de Créteil
- Dunkerque : cimetières de Dunkerque
- Grenoble : cimetières de Grenoble
- La Rochelle : cimetières de La Rochelle
- Orléans : cimetières d’Orléans
- Saint-Etienne : cimetières de Saint-Etienne
- Vincennes : cimetières de Vincennes
A côté de ces grandes villes, on retrouve aussi sur Gescime les cimetières de petits villages, qui n’ont parfois qu’une cinquantaine de tombes.
Remarque : si vous recherchez une sépulture dans l’Est de la France (en particulier, en Alsace), vous pouvez également utiliser le site WebCimetière, qui recense les sépultures de plus de 200 communes.
Les autres sites de cimetières communaux
En dehors de Gescime, on retrouve également des sites internet pour les cimetières de nombreuses autres villes. On peut citer notamment :
- Aix-en-Provence : cimetières d’Aix-en-Provence
- Belfort : cimetières de Belfort
- Bourges : cimetières de Bourges
- Châlons-en-Champagne : cimetière de Châlons-en-Champagne
- Evreux : cimetières d’Evreux
- Le Havre : cimetières du Havre
- Metz : cimetières de Metz
- Marseille : cimetières de Marseille
- Montreuil : cimetières de Montreuil
- Mulhouse : cimetières de Mulhouse
- Nice : cimetières de Nice
- Nîmes : cimetières de Nîmes
- Rennes : cimetières de Rennes
- Saint-Denis : cimetières de Saint-Denis
- Strasbourg : cimetières de Strasbourg
- Vannes : cimetières de Vannes
Pour retrouver le site internet du cimetière d’une autre commune, le mieux est de faire une recherche sur Google avec les termes : « cimetière recherche défunt nom_de_la_commune » ou encore « cimetière nom_de_la_commune rechercher tombe »
En effet, chaque mois, de nouvelles communes mettent à disposition des sites internet pour retrouver et localiser la tombe d’un défunt.
Avantages et inconvénients des sites de cimetières
Les sites internet de cimetières présentent un gros avantage : les informations sont parfaitement à jour. Si une tombe existe dans un cimetière, vous la retrouvez donc à coup sûr.
Cependant, ces sites ont plusieurs inconvénients.
Tout d’abord, comme ils sont indépendants les uns des autres, vous ne pouvez pas mener une recherche sur plusieurs cimetières à la fois.
Si vous ne connaissez pas la commune de l’inhumation, il faut alors chercher le défunt sur les sites internet de chaque cimetière. Les recherches peuvent donc être longues.
Ensuite, ces sites ne vous permettent pas de retrouver une tombe qui n’existe plus, car ils ne donnent que l’état actuel du cimetière. Si la concession d’une tombe a été reprise, vous n’avez donc pas de moyen de le savoir.
Enfin, beaucoup de communes n’utilise pas de logiciel pour gérer leurs tombes, et donc, elles ne mettent pas à disposition de site internet pour les retrouver.
Au final, nous avons vu dans ce dossier 4 grandes ressources pour savoir où est enterré une personne :
- les registres d’inhumation,
- les registres de convoi funéraire,
- les relevés collaboratifs de tombes,
- les sites internet de cimetières.
Chacune de ces ressources a ses avantages et ses inconvénients et, en les utilisant toutes les quatre, nous parvenons bien souvent à retrouver la tombe recherchée.
Bien sûr, il y a toujours des cas où, malgré tous nos efforts, certaines tombes restent introuvables.
Dans ce cas, il ne faut pas hésiter à mener de nouvelles recherches quelques mois plus tard, car entretemps, de nouveaux relevés de cimetières auront été mis en ligne.
Voilà qui conclut ce dossier sur comment savoir où est enterré un ancêtre. J’espère que cela va vous aider dans vos recherches.
Elise
Et vous, avez-vous déjà utilisé des sites de cimetières pour rechercher la tombe d’un ancêtre ? Cela vous a-t-il permis de la retrouver ?
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